Le 12/11/2024
Partage : Soeur Dorice N
Lecture du livre : Délivrance du péché – Marcher par l’esprit
Réponses aux questions :
16. Un croyant peut connaître des luttes parce qu’il veut agir de lui-même, par esprit d’indépendance.
17. La voie de sortie du conflit est :
- Se soumettre au Seigneur
- Refuser sa propre voie (son propre chemin)
- Refuser de faire les choses de toi-même, n’agir que sous l’autorisation du Saint Esprit
18. Marcher selon l’Esprit c’est donner toute chose à Jésus et le suivre en toute chose; c’est la fin de l’effort personnel.
19. Non, la marche selon l’Esprit ne nous rend pas passif. C’est un engagement une coopération active avec Christ, qui l’accomplit en nous
20. Face à ce que Dieu veut, le croyant doit dire, Seigneur j’accepte la puissance de ton saint d’Esprit pour ce travail. je ne veux pas l’accomplir seul, vient l’accomplir avec moi, vient l’accomplir au travers de moi.
21. Le résultat d’une telle vie :
- Il y a la victoire constance
- Il n’y a plus de place pour les désirs de la chair
22. Oui cette vie est possible. Car les justes exigences de la loi sont accomplies en nous par Jésus, qui produit en nous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir.
23. Le croyant est appelé à mener une vie surnaturelle.
24. Cette vie est surnaturelle parce que ses exigences sont au-dessus des capacités humaines.
25. Ce qui rend le croyant capable de venir cette vie surnaturelle : Le Christ surnaturel a pris le croyant dans Sa mort sur la Croix, Son ensevelissement, Sa résurrection et dans Son intronisation, le croyant a donc été ainsi rendu surnaturel exactement comme Christ.
On va faire quelques proclamations :
- Je proclame que je suis surnaturel.
- Le Christ surnaturel m’a mis dans Sa mort sur la Croix, Son ensevelissement, Sa résurrection et dans Son intronisation.
- J’ai été rendu surnaturel exactement comme Christ c’est pourquoi je peux faire des choses impossibles
Partage : Frère Constant Y
Nous allons écouter un enseignement du Frère Théodore, s’il te plait soit sensible.
Prier avec foi et avec actions de grâce
“Prier avec foi comporte le fait de prier de manière désespérée, mais prier avec foi aussi n’est pas seulement une question de l’intensité de désir mais aussi une question de la louange.
Dans notre intensité, après un certain temps nous devons nous souvenir à qui nous sommes en train de nous adresser. Quand nous tournons le coeur vers le besoin ressenti qu’on doit élever à Dieu on doit prier avec intensité, mais en même temps quand on tourne le coeur vers la personne à qui on est en train de soumettre dans la joie (…)
On prie de manière désespérée mais on prie aussi avec joie. A qui sommes-nous en train de parler ? Tout d’abord nous sommes en train de parler à notre Père, quel que soit ce qu’on oublie dans la prière, rassure-toi de ne pas oublier que c’est à ton Père que tu es en train de t’adresser, que tu as une relation avec celui à qui tu es en train de t’adresser, que ce n’est pas seulement toi qui est dans le besoin mais Lui aussi Il se soucie de toi, Lui aussi il a une relation avec toi.
A qui t’adresses-tu ? Nous nous adressons à notre Père. Ne l’oublie pas ! Dans la prière, c’est à notre Père que nous nous adressons, ça change tout !
Il y a une manière d’être désespérée qui montre que tu ne connais pas Dieu, tu n’as pas d’espérance, tu n’as plus rien (..) une manière de prier qui n’est que désespérance et ce n’est pas la prière. Tu n’es plus en train de prier à Dieu, tu es en train d’exprimer la désolation, tu n’as personne, ce n’est plus la prière.
Quand on ressent le besoin vivement, au milieu de toute cette désespérance, on doit casser cette désespérance avec des intermèdes de louange. C’est pour ça que la Bible dit “faites connaître vos besoins avec actions de grâce et avec des prières, des supplications, avec actions de grâce”. Il faut cette intermède qui nous ramène au fait que c’est à notre Père qu’on est en train de parler. Et ces intermèdes avec action de grâce c’est aussi pour parler à toi-même, pour dire “avec tout ce qu’il a fait pour moi, il va encore faire”. Les actions de grâce à Dieu c’est une manière de te parler à toi-même. (…)”
Pour autant que nous sommes concernés, nous devons être sincères.
(partage frère Constant : C’est la révélation qui produit les transformation, la vie, qui amène à changer.)
Dieu va ressentir ta prière autant que tu la ressens.
“Ce n’est pas le volume de ta voix. Marthe a dit les mêmes choses à Jésus, Jésus a dit les mêmes choses et les paroles de l’un a ressorti les larmes. Donc quand je dis que Dieu va ressentir tes prières autant que toi qui les pries, tu les ressens. C’est pour nous dire d’être vrai. Dieu n’est pas une idole. (…) On ne fait des astuces avec Dieu. Dieu va ressentir tes prières et ressentir mes prières tout comme moi-même je le ressens. Est-ce que ça va nous aider à cesser de perdre le temps ? on vous a dit de prier avec importunités et vous répéter les sujets de prière en pensant que répéter les sujets de prières c’est l’importunité ! Répéter quelque chose que tu ne ressens pas n’est pas de l’importunité. On a enseigné l’importunité mais l’importunité ce n’est pas les vaines répétitions. Dieu n’est pas un ordinateur, Dieu est une personne. On ne gère pas Dieu, on traite avec Dieu. Dieu n’est pas une machine, il n’est pas un ordinateur que tu vas jongler. Mais il faut un intermède de louange. Une ponctuation (…) C’est à Dieu que tu parles et c’est à Dieu qui est proche. Il est proche de toi en termes de relation. On parle à notre père, on parle à Dieu qui est vivant, et on parle à Dieu qui est proche. Quand on a cela dans le cœur, au milieu de notre misère, de notre désespoir, on peut prier à Dieu.
- Prions que nous prions à Dieu notre Père, que la seule chose qui peut nous éloigner de Lui c’est le péché. prions pour cette révélation, et que nos prières changent.
- Que cinq personnes prient pour nous que ce que nous venons d’entendre soit vie en nous comme gain de cette croisade.
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